Tome 45 (2015)
324 pages, CNRS Éditions, 2015,
ISBN : 978-2-271-08836-9,
ISSN : 0153-9337
45 €
Disponible sur OpenEdition Journals : https://journals.openedition.org/archeomed/2833
TABLE DES MATIÈRES
Alexandre Polinski
Sarcophages et coffrages en pierre des nécropoles de la Loire-Atlantique : une approche des stratégies d’approvisionnement en matériaux (IVe-VIIIe siècle)
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Thierry Galmiche, Vincent Buccio, Nadège Robin
Le cimetière de la ferme de Pouy à Mortefontaine (Aisne) (VIIIe-XIe siècle)
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Christian Sapin, Fabrice Henrion, Stéphane Büttner avec la collaboration de Sylvain Aumard
Les origines de l’abbaye de Vézelay et les débuts de son organisation claustrale (IXe-XIIe siècle)
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Sophie Blain, Christophe Maggi, Patrick Hoffsummer
Les charpentes de la collégiale Saint-Denis à Liège (Belgique) : apports de l’archéométrie et de l’archéologie du bâti à l’histoire du site (XIe-XVIIIe siècle)
Résumés et mots-clés
Article en ligne
William Devriendt, Sophie Vatteoni, Benoît Bertrand, Stéphane Venet
Témoins anthropologiques de dissections anatomiques : le cas des ossements exhumés de l’ancienne église Saint-Jacques de Douai (Nord, XVIe-XVIIIe siècle)
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Emmanuelle du Bouëtiez et Jean-Yves Dufour
Les carreaux de pavement en terre cuite du XVIIe siècle du jeu de paume du roi à Versailles (Yvelines)
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Élisabeth Zadora-Rio
Mise au point historiographique à propos d’un article de Laurent Olivier, « Les racines nationales-socialistes de la refondation de l’archéologie médiévale en France : Michel de Boüard (1909-1989) et Herbert Jankuhn (1905-1990) »
Chronique des fouilles médiévales en France en 2014
Répartition régionale des chantiers de fouille
Bulletin critique
François Blary
Origines et développements d’une cité médiévale : Château-Thierry (Luc Bourgeois)
Article en ligne
Luc Bourgeois et Christian Remy (dir.)
Demeurer, défendre et paraître. Orientations récentes de l’archéologie des fortifications et des résidences aristocratiques médiévales entre Loire et Pyrénées (François Fichet de Clairfontaine)
Article en ligne
Jean-Yves Dufour (dir.)
Le château de Roissy-en-France (Val-d’Oise). Origine et développement d’une résidence seigneuriale du Pays de France (XIIe-XIXe s.) (Anne Bocquet Liénard)
Article en ligne
Alexandre Polinski
Sarcophages et coffrages en pierre des nécropoles de la Loire-Atlantique : une approche des stratégies d’approvisionnement en matériaux (IVe-VIIIe siècle)
Mots-clés : Loire-Atlantique, Antiquité tardive, haut Moyen Âge, nécropoles, sarcophages, coffrages, stratégies d’approvisionnement, carrières, pierre.
Keywords: Loire-Atlantique, Late Antiquity, Early Middle-Ages, cemeteries, sarcophagi, cists, supply strategies, quarries, stone
Schlüsselwörter: Loire-Atlantique, Spätantike, Frühmittelalter, Gräberfelder, Steinsärge, Steinplattengräber, Beschaffungsstrategie, Steingruben, Steinmaterial
Résumé : Une enquête sur les stratégies d’approvisionnement en pierre mises en œuvre dans les nécropoles de la Loire-Atlantique pendant l’Antiquité tardive et le haut Moyen Âge a permis d’apporter un certain nombre de précisions inédites sur la nature et la provenance des roches employées, ainsi que sur leurs modalités d’utilisation. Une importation de sarcophages en tuffeau jaune, probablement produits dans la basse vallée de la Vienne, a notamment été mise en évidence. Les nécropoles du département font plus ou moins appel aux mêmes sources d’approvisionnement que celles du Maine-et-Loire et la basse vallée de la Loire forme, de ce point de vue, un espace économique cohérent.
Abstract: Sarcophagi and Stone Cists from Cemeteries in the Loire-Atlantique: an Approach to Material-Supply Strategies (4th to 8th century). A survey of stone-supply strategies employed in Loire-Atlantique cemeteries during Late Antiquity and the Early Middle-Ages has provided a certain amount of new information both concerning the type and source of rocks used, and also the ways in which they were put to use. In particular, the importing of yellow-tufa sarcophagi, probably produced in the lower Vienne valley, has been identified. The Loire-Atlantique cemeteries use approximately the same supply sources as those in the Maine-et-Loire and from this point of view the lower Loire valley forms a coherent economic area.
Zusammenfassung: Zur Beschaffung des Steinmaterials für die Särge und Plattengräber in der Umgebung von Nantes (4. bis 8. Jh.). Wie wurde das Steinmaterial für die spätantiken und frühmittelalterlichen Gräberfelder der Loire-Atlantique (Gegend um Nantes) beschaffen? Die Untersuchung dieser Frage führte zu neuen Erkenntnissen zur Natur und zur Herkunft des dafür verwendeten Gesteins und zur Art seiner Verwendung. Namentlich wurde der Import von Särgen aus gelbem Kreidekalkstein (tuffeau) nachgewiesen, die wohl im unteren Tal der Vienne hergestellt wurden. Im großen und ganzen beziehen die Gräberfelder der Loire-Atlantique ihr Steinmaterial aus denselben Orten wie die des Maine-et-Loire (Gegend um Angers). In dieser Hinsicht bildet das untere Loiretal einen einheitlichen Wirtschaftsraum.
Thierry Galmiche, Vincent Buccio, Nadège Robin
Le cimetière de la ferme de Pouy à Mortefontaine (Aisne) (VIIIe-XIe siècle)
Mots-clefs : haut Moyen Âge, rural, cimetière, lieu de culte, anthropologie, Picardie, Bassin parisien
_ Keywords: Early Middle-Ages, late 8th century to mid-11th century, rural, cemetery, place of worship, anthropology, Picardy, Paris Basin
_Schlüsselwörter: Frühmittelalter, Ende 8.-1. Hälfte des 11. Jhs., ländlich, Friedhof, Kirchenbau, Anthropologie, Picardie, Pariser Becken
Résumé : Le cimetière de la ferme de Pouy à Mortefontaine, en usage entre la fin du VIIIe siècle et la première moitié du xie siècle, a été fouillé partiellement en 2008 et 2012. Un habitat rural de la même époque est situé de part et d’autre de cet espace funéraire. Au nord et au sud, un fossé marque la partition entre ces deux secteurs. Un bâtiment qui pourrait correspondre à un lieu de culte a été découvert au cœur de la zone funéraire, remarquable par sa forte densité d’inhumations qui entraîne de nombreux recoupements, réductions et sépultures secondaires. Une organisation en rangées a néanmoins été décelée et de rares stèles ont aussi été retrouvées. Une grande diversité des pratiques funéraires a été constatée dans la morphologie de la fosse, l’aménagement de la tombe, le recours à un linceul, la présence de vêtements et la position du corps. La distinction, au sein de la population du cimetière, d’un groupe social plus élevé témoigne peut-être de l’encadrement d’un domaine appartenant à l’abbaye de Saint-Denis, bien établie sur ce plateau du Soissonnais.
Abstract: The ‘Ferme du Pouy’ Cemetery at Mortefontaine (Aisne) (8th to 11th century). In 2008 and 2012, a cemetery in use from the late 8th century to the mid-11th century was partially excavated on the Ferme du Pouy site at Mortefontaine. A rural settlement of the same period was located on either side of the funerary area. To the north and south, a ditch marked the separation between the two sectors. A building corresponding to a possible place of worship was identified at the heart of the funerary area which is noteworthy for a high burial-density generating numerous re-cuttings and reduced and secondary graves. Organisation by rows was discernible nonetheless and a few grave-markers found. Highly diverse funerary practices can be seen from the shape and lay-out of the graves, the use of a shroud, the presence of clothing, and the body’s position. A burial group of higher social status could possibly correspond to managers of an estate belonging to the abbey of Saint-Denis, well-established on the Soissons plateau.
Zusammenfassung: Der Friedhof der Ferme de Pouy bei Mortefontaine (Aisne) (8. bis 11. Jh.). Der vom Ende des 8. bis zur ersten Hälfte des 11. Jhs. belegte Friedhof der Ferme de Pouy (ein Hof bei Mortefontaine, zwischen Soissons und Compiègne) wurde 2008 und 2012 teilweise ausgegraben. Links und rechts von ihm liegt eine ländliche Siedlung derselben Periode. Im Norden und Süden werden diese zwei Bereiche von einem Graben getrennt. Ein wohl kultischer Bau wurde inmitten des Gräberfeldes freigelegt. Dieses zeichnet sich durch eine hohe Dichte an Bestattungen aus, die zu zahlreichen Überschneidungen und Zweitbelegungen geführt hat. Gleichwohl sind Gräberreihen erkennbar; auch wurden einige wenige Stelen gefunden. In Bezug auf die Form der Grabgrube, die Einrichtung des Grabes, das Vorhandensein eines Leichentuchs oder von Kleidern, die Lage des Körpers sind die Bestattungsbräuche sehr unterschiedlich. Innerhalb der Population des Friedhofs erkennt man eine Oberschicht, die vielleicht mit den Verwaltern eines Guts zusammenhängt, die der im Soissonnais ziemlich begüterten Abtei Saint-Denis gehörte.
Christian Sapin, Fabrice Henrion, Stéphane Büttner avec la collaboration de Sylvain Aumard
Les origines de l’abbaye de Vézelay et les débuts de son organisation claustrale (IXe-XIIe siècle)
Mots-clefs : monastère, abbaye, cloître, Carolingien, Bourgogne, Saint-Père, Vézelay.
Keywords: Monastery, Abbey, Cloister, Carolingian, Burgundy, Saint-Père, Vézelay
Schlüsselwörter: Kloster, Abtei, Kreuzgang, Karolingerzeit, Burgund, Saint-Père, Vézelay.
Résumé : Les résultats d’une recherche archéologique programmée sur les abords de l’abbatiale de Vézelay ont mis en évidence les premières traces médiévales d’installation du monastère après son déplacement depuis le lieu de sa fondation dans la vallée vers 860. On peut percevoir à travers ces premiers éléments la genèse d’une vaste organisation des bâtiments monastiques qui seront délaissés après le XVIe siècle.
Abstract: The Origins of the Abbey of Vezelay and the Beginnings of its Monastic Organisation (9th to 12th century). An archaeological research programme in the immediate surroundings of the abbey-church at Vézelay has revealed evidence of the beginnings of the medieval monastery’s resettlement after its transfer from the original foundation-place in the valley around 860. These initial elements provide insight into the genesis of a vast organisation of the monastic buildings which are abandoned after the 16th century.
Zusammenfassung: Die Ursprünge der Abtei Vézelay und die Anfänge ihrer Klosteranlage (9.-12. Jh.). Eine Plangrabung im Umfeld der Abteikirche von Vézelay legte die ältesten Spuren des Klosters frei, der um 860 von seinem ursprünglichen Standort im Tal hierher verlegt worden war. Diese ersten Befunde lassen die Anfänge einer großzügigen Klosteranlage erkennen, die nach dem 16. Jh. aufgegeben wurde.
Sophie Blain, Christophe Maggi, Patrick Hoffsummer
Les charpentes de la collégiale Saint-Denis à Liège (Belgique) : apports de l’archéométrie et de l’archéologie du bâti à l’histoire du site (XIe-XVIIIe siècle)
Mots-clés : charpente, église, archéologie du bâti, datation, dendrochronologie, Moyen Âge, Belgique
Keywords: Roof-timbers, church, building archaeology, dating, dendrochronology, Middle-Ages, Belgium.
Schlüsselwörter: Dachstuhl, Kirche, Baugeschichte, Datierung, Dendrochronologie, Mittelalter, Belgien.
Résumé : L’église Saint-Denis, dont la construction est traditionnellement attribuée au premier prince-évêque de la cité, le célèbre Notger, est la plus ancienne de Liège. Elle constitue non seulement un édifice phare de la construction mosane et de l’histoire de la cité des Princes-Évêques, mais aussi un témoin in situ de l’évolution de l’architecture religieuse au cours du dernier millénaire en Belgique. Bien que l’intérieur de la nef soit désormais entièrement recouvert d’un décor de style baroque, ses combles, non visibles du public, conservent, intactes ou modifiées, les différentes phases d’une histoire complexe du bâti. Afin d’évaluer son origine et d’identifier l’évolution de sa construction, la charpente a fait l’objet d’une étude transdisciplinaire combinant archéologie du bâti et dendrochronologie. Il en résulte l’identification et la datation précises des différentes phases, situées dans leur contexte historique, ainsi qu’une amélioration et un prolongement du référentiel de la dendrochronologie pour le haut Moyen Âge en Belgique.
Abstract: The Roof-Timbers of the Church of Saint-Denis in Liège, Belgium: the Contribution of Archaeometry and Building Archaeology to the Monument’s History (from the 11th to the 18th century). The church of Saint-Denis is the oldest surviving church in Liège and traditionally attributed to Notger, the city’s celebrated first prince-bishop. The building is both emblematic of Mosan architecture and the history of the Prince-Bishops’ city, and also a standing witness to the evolution of religious architecture in Belgium during the previous millennium. Although the interior of the nave is now entirely clad with a Baroque decor, the roof-space, not visible to the public, conserves remains, intact or modified, of the various phases of the building’s complex history. The roof-timbers have been studied using a multidisciplinary approach combining building archaeology and dendrochronology in order to identify the original architectural phase and later transformations. This study has enabled accurate identification and dating for each phase, and has also improved and extended the dendrochronological reference curve for the Early Middle-Ages in Belgium.
Zusammenfassung: Das Dachwerk der Dionysiuskirche in Lüttich (Belgien): archäometrische und baugeschichtliche Beiträge zur ihrer Geschichte (11.-18. Jh.). Die Kirche St. Dionysius ist die älteste von Lüttich; angeblich wurde sie vom berühmten Notker, dem ersten Fürstbischof der Stadt, erbaut. Sie ist nicht nur ein Denkmal der maasländischen Baukunst und der Geschichte der Kathedralstadt, sondern auch ein Beispiel für die Wandlung des Kirchenbaus in Belgien im ersten Jahrtausend. Innen ist ihr Schiff heute völlig barockisiert, aber ihr Dachraum, dem Publikum unzugänglich, zeigt die unterschiedlichen Phasen einer komplexen Baugeschichte. Um ihre Ursprünge zu beleuchten und ihre Entwicklung zu verstehen, wurde das Dachwerk interdisziplinär, d. h. zugleich bauarchäologisch und dendrochronologisch untersucht. Damit konnten die Bauphasen genau herausgearbeitet, datiert und in ihren historischen Zusammenhang gestellt werden. Darüber hinaus konnte die Datensammlung für die frühmittelalterliche Dendrochronologie in Belgien erweitert und verbessert werden.
William Devriendt, Sophie Vatteoni, Benoît Bertrand, Stéphane Venet
Témoins anthropologiques de dissections anatomiques : le cas des ossements exhumés de l’ancienne église Saint-Jacques de Douai (Nord, XVIe-XVIIIe siècle)
Mots-clés : dissection, histoire de la médecine, anthropologie, époque moderne, cimetière urbain
Keywords: Dissection, History of Medicine, Anthropology, Modern Period, Urban Cemetery
Schlüsselwörter: Leichenöffnung, Medizingeschichte, Anthropologie, Neuzeit, städtischer Friedhof
Résumé : Une fouille préventive menée sur la place Carnot de Douai (avril-décembre 2007) a permis de mettre au jour les vestiges de l’ancienne église Saint-Jacques (1225-1798) et son cimetière attenant. Parmi les 1857 sépultures exhumées, quelques restes de l’époque moderne, présentant des traces d’interventions anthropiques (sciage, découpe), ont retenu l’attention. L’étude des stigmates a permis de restituer les modes opératoires à l’origine de ces modifications osseuses. Les gestes techniques ont été comparés à ceux décrits dans la littérature médicale contemporaine. À l’issue de cette analyse, trois interprétations sont discutées : l’embaumement, l’autopsie et la dissection. Le contexte des dépôts et l’histoire de la ville plaident en faveur de dissections à vocation pédagogique.
Abstract: Anthropological Evidence for Anatomical Dissections: the Example of 16th to 18th century Human Remains from the Ancient Church of Saint-Jacques in Douai. A developer-funded excavation carried out on the Place Carnot in Douai (April-December 2007) revealed remains of the ancient church of Saint-Jacques (1225-1798) and its cemetery. Among the 1,857 excavated graves, it was observed that certain skeletal remains from the modern period bore traces of human intervention (sawing, cutting). Study of these marks has enabled reconstruction of the procedures responsible for bone alterations. Technical actions identified were compared with those described in contemporary medical literature. On the basis of this analysis, three interpretations are discussed: embalming, autopsy and dissection. The context of the deposits and the history of the city argue in favour of dissection for teaching purposes.
Zusammenfassung: Aus der früheren Jakobskirche zu Douai (Nordfrankreich) geborgene Gebeine als Zeugen anatomischer Sektionen (16.-18. Jh.). Eine Notgrabung auf der Place Carnot in Douai (April-Dezember 2007) entdeckte die Reste der Kirche St. Jakob (1225-1798) und ihres Kirchhofs. Unter den 1857 freigelegten Bestattungen verdienen etliche frühneuzeitliche Gebeine eine besondere Aufmerksamkeit, weil sie Spuren menschlicher Eingriffe zeigen (Sägen, Zerlegen). Durch die Untersuchung dieser Spuren konnten die Operationen nachvollzogen werden, die sie bewirkt haben. Sie wurden mit denen verglichen, die die damalige medizinische Literatur beschreibt. Auf dieser Grundlage werden drei Deutungen diskutiert: Einbalsamierung, Autopsie und Sezieren. Der Kontext der Funde und die Geschichte der Stadt sprechen für Lehrsektionen.
Emmanuelle du Bouëtiez et Jean-Yves Dufour
Les carreaux de pavement en terre cuite du XVIIe siècle du jeu de paume du roi à Versailles (Yvelines)
Mots clefs : carreau de pavement, découpe à la forme, époque moderne, jeu de paume, système d’accroche, moulage, terre cuite, tampon, tomette, tuilerie, Versailles.
Keywords: Floor-tiles, Die-cutting, Modern Period, Royal-Tennis Court, Marking, Moulding, Terracotta, Stamp, Hexagonal floor-tile, Tilery, Versailles.
Schlüsselwörter: Bodenfliese, Ansstanzen, Neuzeit, Ballhaus, Markierung, Formen, Irdenware, Stempel, Ziegelei, Versailles
Résumé : Plus de 1 400 éléments de pavement en terre cuite ont été mis au jour sous la cour du Grand Commun du château de Versailles. Ils proviennent principalement du jeu de paume construit pour Louis XIII et de la maison du paumier. Leur intérêt réside non seulement dans leur calage chronologique bien affirmé – une cinquantaine d’années – mais également dans la présence de séries numériquement importantes permettant de nombreuses observations sur leur mode de fabrication. Souvent trouvés à l’état de débris, ces carreaux non décorés, d’une grande simplicité et peu attrayants ne sont que rarement étudiés. Cet article pose les premiers jalons dans la constitution d’un corpus francilien.
Abstract: 17th- century Terracotta Floor-Tiles from the Royal-Tennis Court at the Palace of Versailles. Ground-Work for establishing an Ile-de-France Corpus. More than 1 400 fragments of terracotta floor-tile were retrieved beneath the court-yard of the Grand Commun building in the Palace of Versailles. They came mostly from the royal-tennis court built for Louis XIII and from the court-keeper’s house. The tiles are of interest not only because they can be placed chronologically to within a fifty year period, but also by the presence of numerically significant series enabling numerous observations of production techniques. Non-decorated tiles, unattractive and often retrieved from rubble deposits, are rarely studied given their great simplicity. The present article lays ground-work with a view to establishing an Ile-de-France corpus.
Zusammenfassung: Bodenfliesen des 17. Jhs. aus dem königlichen Ballhaus in Versailles. In Versailles, unter dem Hof des sog. « Grand Commun », eines Nebengebäudes des Schlosses, wurden über 1 400 Tonfliesen geborgen. Sie kommen hautpsächlich aus einem für Ludwig XIII. erbauten Ballhaus und aus dem Wohnhaus seines Hausmeisters. Ihr Interesse liegt nicht nur an ihren genauen und engen Zeitspanne (ca. 50 Jahre), sondern auch am Vorhandensein von großen Serien, die viele Beobachtungen zu ihren Herstellungsprozessen ermöglichen. Diese unverzierten, oft fragmentierten Fliesen sind sehr einfach, nicht gerade reizvoll und werden daher selten untersucht. Der Aufsatz leistet den ersten Beitrag zu einem Fliesenkorpus für die Île-de-France.
Chronique des fouilles médiévales en France en 2014
Répartition régionale des chantiers
Les chiffres romains I, II, III, IV, V, VI, VII, désignent le domaine de recherche auquel se rapporte le chantier mentionné, à savoir :
I : Constructions et habitats civils, II : Constructions et habitats ecclésiastiques, III : Constructions et habitats fortifiés, IV : Sépultures et nécropoles, V : Installations artisanales, VI : Archéologie subaquatique, VII : Diverses chroniques ; les chiffres arabes 1, 2, 3 indiquent respectivement 1 : les opérations de terrain, 2 : les prospections, 3 : les projets collectifs de recherche.
ALSACE
I 1.
MULHOUSE (Haut-Rhin). Cour de Lorraine – 21, rue des Franciscains
STRASBOURG (Bas-Rhin). Place du Petit Broglie
II 1.
COLMAR (Haut-Rhin). Place de la cathédrale
III 1.
ANDLAU (Bas-Rhin). Château du Haut-Andlau
CHÂTENOIS (Bas-Rhin). Jardin du presbytère
THANN (Haut-Rhin). Château de l’Engelbourg
IV 1.
MERXHEIM (Haut-Rhin). Obere Reben
AQUITAINE
I 1.
BRUCH (Lot-et-Garonne). Gachot
CARBON-BLANC (Gironde). Place Vialolle
PÉRIGUEUX (Dordogne). École élémentaire de la Cité
SAINT-AUBIN-DE-MÉDOC (Gironde). Mounic
I 2.
SAINT-ÉMILION (Gironde). Saint-Émilion et sa juridiction. Genèse, architectures et formes d’un territoire
II 1.
BORDEAUX (Gironde). Crypte de la basilique Saint-Seurin
BRANTÔME (Dordogne). L’abbaye de Brantôme
SAINT-AMAND-DE-COLY (Dordogne). Enclos abbatial
III 1.
BIRON (Dordogne). Le château
CAMPAGNE (Dordogne). Château
LANGOIRAN (Gironde). Le Castéra
III 2.
SAINT-MICHEL (Pyrénées-Atlantiques). Château-Pignon
IV 1.
BRUGES (Gironde). Église Saint-Pierre
SAINT-JEAN-LE-VIEUX (Pyrénées-Atlantique). Le Bourg
V A1.
SADIRAC (Gironde). Chemin du Pas du Rey
SADIRAC (Gironde). Impasse Tioulet
V A3
AQUITAINE. La céramique médiévale en Aquitaine (IVe s.-fin XVIe s.)
POITOU-CHARENTES, AQUITAINE, CENTRE, ÎLE-DE-FRANCE, GUADELOUPE, MARTINIQUE. Les céramiques de raffinage dans les ports atlantiques : interactions économiques en métropole et avec les Antilles entre le XVIe et le XIXe s.
AUVERGNE
I 1.
COMPAINS (Puy-de-Dôme). Les Yvérats
III 2.
DUNIÈRES (Haute-Loire). Relevé 3D de la tour dite de « Joyeuse »
MUROL (Puy-de-Dôme). Actualité de la recherche
VII 1.
SAINTE-MARIE (Cantal). Pont de Tréboul
BOURGOGNE
I 1.
AHUY (Côte-d’Or). Devant la Ferme
GUEUGNON (Saône-et-Loire). Le Bois du Comte
II 1.
AUTUN (Saône-et-Loire). Cathédrale Saint-Lazare, chapelle Saint-Joseph
CHALON-SUR-SAÔNE (Saône-et-Loire). Ancien cloître de la cathédrale Saint-Vincent
CHARITÉ-SUR-LOIRE (LA) (Nièvre). Ancien prieuré Notre-Dame
JOUX-LA-VILLE (Yonne). Oudun
LAIVES (Saône-et-Loire). Église Saint-Martin-du-Haut
SENS (Yonne). 78, rue Victor Guichard
VERMENTON (Yonne). Ancienne abbaye de Reigny
III 1.
MARTAILLY-LÈS-BRANCION (Saône-et-Loire). Château de Brancion : transect dans le flanc nord de la butte
NUARS (Nièvre). Le Bouchet
BRETAGNE
I 1.
RENNES (Ille-et-Vilaine). La salle du Pélican, un jeu de paume de 1605-1607 (10-12, rue Saint-Louis)
III 1
RENNES (Ille-et-Vilaine). Les Portes Mordelaises
ROCHE-MAURICE (LA) (Finistère). Château de Roc’h Morvan
V A3.
PAYS DE LA LOIRE – BRETAGNE. La céramique médiévale dans les Pays de la Loire et en Bretagne du XIe au XVIe s.
CENTRE
I 1.
PUSSIGNY (Indre-et-Loire). Grouet
VILLIERS-SUR-LOIR (Loir-et-Cher). 4 bis, avenue du Petit Thouars
II 1.
RUFFEC-LE-CHÂTEAU (Indre). Prieuré Saint-Martial
TOURS (Indre-et-Loire). Marmoutier
III 1.
BLOIS (Loir-et-Cher). Château de Blois, aile François Ier
LOCHES (Indre-et-Loire). Le château
MONTARGIS (Loiret). 13 rue Raymond Tellier
MONTARGIS (Loiret). Le château, tour est
V A3.
POITOU-CHARENTES, AQUITAINE, CENTRE, ÎLE-DE-FRANCE, GUADELOUPE, MARTINIQUE. Les céramiques de raffinage dans les ports atlantiques : interactions économiques en métropole et avec les Antilles entre le XVIe et le XIXe s.
VI 2.
BRUÈRE-ALLICHAMPS (Cher). Lit du Cher
VII 1.
BLOIS (Loir-et-Cher). Avenue Docteur Jean Laigret
CHAMPAGNE-ARDENNE
I 1.
AUBE-MARNE. Arc de Dierrey
BARBUISE, PLESSIS-BARBUISE (Aube). Les Forges, Le Mont, Les Prés l’Abbé
CRANCEY (Aube). Chanteloup
MAIZIÈRES-LES-BRIENNE (Aube). Rue Gaulière
MESNIL-SAINT-LOUP (Aube). Petit Vieux Romard
PONT-SUR-SEINE (Aube). Les Gués
SAINT-LYÉ (Aube). Rue du Moulin
SIGNY-L’ABBAYE (Ardennes). La Ruelle Lagasse
VILLENEUVE-AU-CHÂTELOT (LA) (Aube). D40b
IV 1.
BAZANCOURT (Marne). Les Prés
SAINT-AUBIN (Aube). La Gloriette
VERRIÈRES (Aube). Le Pré Brun
VILLENAUXE-LA-GRANDE (Aube). Zones 20 et 22
CORSE
II 1.
BONIFACIO (Corse-du-Sud). Diagnostic de la caserne Montlaur
FRANCHE-COMTÉ
I 1.
BOUVERANS (Doubs). À Maufugey
CHÂTENOIS-LES-FORGES (Territoire de Belfort). 5, rue du lieutenant Bidaux
II 1.
SALINS-LES-BAINS (Jura). Camp du Château
III 3.
FRANCHE-COMTÉ. Les sites de hauteur de l’Antiquité tardive et du haut Moyen Âge
en Franche-Comté (IVe-IXe s.)
IV 1.
BREUREY-LES-FAVERNEY (Haute-Saône). 5, rue des Petits Cabots
CHAMPAGNOLE (Jura). Rue Gédéon-David, les Eclesches
V B2
HAUT-DU-THEM/CHÂTEAU-LAMBERT (Haute-Saône). Exploitation minière et forêts du Moyen Âge à nos jours – les mines de cuivre de la Grande Montagne
V B3
GROZON (Jura). 5 rue de la Saline
GUADELOUPE
V A3._ POITOU-CHARENTES, AQUITAINE, CENTRE, ÎLE-DE-FRANCE, GUADELOUPE, MARTINIQUE. Les céramiques de raffinage dans les ports atlantiques : interactions économiques en métropole et avec les Antilles entre le XVIe et le XIXe s.
GUYANE
IV 1.
REMIRE-MONTJOLY (Guyane). Habitation Loyola : le cimetière
ÎLE-DE-FRANCE
I 1.
CARRIÈRE-SOUS-POISSY (Yvelines). Rue de la Reine-Blanche
HERMÉ (Seine-et-Marne). Les Malletons
MARLY-LE-ROY (Yvelines). 3e pavillon du Levant – Bassin des Boules
PARIS. Cour Carrée, musée du Louvre
SAINT-DENIS (Seine-Saint-Denis). 57, rue Charles Michels
SAMOIS-SUR-SEINE (Seine-et-Marne). Sentier de l’Ancien moulin
VERSAILLES (Yvelines). Jardins du Grand Trianon
II 1.
RENNEMOULIN (Yvelines). Chapelle Saint-Nicolas
III 1.
BEYNES (Yvelines). Château
V A1.
ÉCOUEN/SAINT-BRICE (Val-d’Oise). Vallée du Rosne
V A3._ POITOU-CHARENTES, AQUITAINE, CENTRE, ÎLE-DE-FRANCE, GUADELOUPE, MARTINIQUE. Les céramiques de raffinage dans les ports atlantiques : interactions économiques en métropole et avec les Antilles entre le XVIe et le XIXe s.
LANGUEDOC-ROUSSILLON
I 1.
ANGOUSTRINE-VILLENEUVE-LES-ESCALDES (Pyrénées-Orientales). La Coume Païrounell
BÉZIERS (Hérault). Saint-Aphrodise
LUNEL-VIEL (Hérault). Verdier Nord
VERGÈZE (Gard). Saint-Pastour
II 3.
SAINT-GILLES-DU-GARD (Gard). Ancienne abbaye
III 1.
DUILHAC-SOUS-PEYREPERTUSE (Aude). Château de Peyrepertuse
TERMES (Aude). Château de Termes
VII 3.
AIGUES-MORTES (Gard). Recherches géoarchéologiques autour des ports médiévaux d’Aigues-Mortes
LIMOUSIN
I 1.
BRIVE-LA-GAILLARDE (Corrèze). ZAC Brive Ouesy
NAVES (Corrèze). Le Bourg
II 1.
LIMOGES (Haute-Vienne). Place de la République, rue Saint-Martial, place Fournier
SAINT-SYLVESTRE (Haute-Vienne). Abbaye chef d’ordre de Grandmont
III 1.
SAINT-DIZIER-LEYRENNE (Creuse). Murat
III 2.
SAINT-DIZIER-LA-TOUR (Creuse). La Tour-Saint-Austrille
LORRAINE
I 1.
MARS-LA-TOUR (Meurthe-et-Moselle). 3, rue des Écoles
VIC-SUR-SEILLE (Moselle). Rue Haute, extension de l’EHPAD
III 1.
DARNIEULLES (Vosges). Tour d’habitation seigneuriale
PONT-À-MOUSSON (Meurthe-et-Moselle). Rue de l’Imagerie
RODEMACK (Moselle). Le Burg, la Citadelle
III 2.
MOUSSON (Meurthe-et-Moselle). Enceinte urbaine
IV 1.
SAULXURES-LES-NANCY (Meurthe-et-Moselle). Le Village Nord, Grande rue, rue des Jardins fleuris
MARTINIQUE
V A3._ POITOU-CHARENTES, AQUITAINE, CENTRE, ÎLE-DE-FRANCE, GUADELOUPE, MARTINIQUE. Les céramiques de raffinage dans les ports atlantiques : interactions économiques en métropole et avec les Antilles entre le XVIe et le XIXe s.
MIDI-PYRÉNÉES
I 1.
TOULOUSE (Haute-Garonne). 2, rue Deville
II 1
AUCH (Gers). Ancien couvent des Cordeliers
TOULOUSE (Haute-Garonne). Square Édouard-Privat (couvent des Augustins)
III 1.
LACAZE (Tarn). Château
LAGRAULET (Gers). Château
SEISSAN (Gers). Château de Garrané
III 2.
PAMIERS (Ariège). 11, route de Foix
IV 1.
TOULOUSE (Haute-Garonne). 16, rue des 36 Ponts
V B1
AULUS-LES-BAINS (Ariège). Castel-Minier
VII 1.
AUZAT (Ariège). Vallée de Soulcem
NORD-PAS-DE-CALAIS
I 1.
BONDUES (Nord). Avenue du général de Gaulle
BONDUES (Nord). Avenue de Wambrechies
MARCK-EN-CALAISIS / CALAIS (Pas-de-Calais). La Turquerie zone 1
MARCK-EN-CALAISIS (Pas-de-Calais). La Turquerie, zone 2-3
MARCQ-EN-BARŒUL (Nord). Rue du Pavé Stratégique – rue Ducroquet
SECLIN (Nord). Place Saint-Piat
II 1.
MONT-SAINT-ÉLOI (Pas-de-Calais). Rue du Général Barbot
III 1.
CONDÉ-SUR-L’ESCAUT (Nord). Château de l’arsenal, rue du munitionnaire
III 3.
THÉROUANNE (Pas-de-Calais). Thérouanne : ville antique et médiévale
IV 1.
AUBY (Nord). Pôle culturel
NORMANDIE (HAUTE)
I 1.
ROUEN (Seine-Maritime). Rue de la Pie (parcelle BD 189)
II 1.
AUMALE (Seine-Maritime). Abbaye Saint-Martin d’Auchy
IV 1.
ROUEN (Seine-Maritime). Place Martin Luther King
V A3.
NORMANDIE. Typochronologie de la céramique médiévale dans l’espace normand du Xe-XVIe s. Production, diffusion
NORMANDIE (BASSE)
I 1.
BAYEUX (Calvados). 51, rue Saint-Jean (hôtel du Croissant)
COURSEULLES-SUR-MER (Calvados). Fosses Saint-Ursin
FALAISE (Calvados). 10, place Guillaume le Conquérant
III 1.
ALENÇON (Orne). Rue de l’Abreuvoir
CAEN (Calvados). Le Château
ÉVRECY (Calvados). Saint-Aubin des Champs 2
IV 3.
HAUTE-NORMANDIE. L’étude des matériaux organiques dans les tombes du haut Moyen Âge : un apport à la connaissance des pratiques funéraires et des vêtements ?
V A3.
NORMANDIE. Typochronologie de la céramique médiévale dans l’espace normand du Xe-XVIe s. Production, diffusion
PAYS-DE-LA-LOIRE
I 1.
CHALLANS (Vendée). La Pièce du Palis et les Rivières
LAVAL (Mayenne). Rues Renaise et Landelle
MOUCHAMPS (Vendée). Le Champ de la Pointe
PELLOUAILLES-LES-VIGNES (Maine-et-Loire). La Bataillère
II 1.
FOUSSAIS-PAYRÉ (Vendée). Église Saint-Hilaire
ÎLE D’YEU (L’) (Vendée). Saint-Sauveur
MOREILLES (Vendée). L’Abbaye
III 1.
ANCENIS (Loire-Atlantique). Le Château
POUANCÉ (Maine-et-Loire). Château
SAINTE-SUZANNE (Mayenne). La Motte/Camp de Beugy
TIFFAUGES (Vendée). Le Château
IV 1.
BENET (Vendée). Rue de la Combe
V A3.
PAYS DE LA LOIRE – BRETAGNE. La céramique médiévale dans les Pays de la Loire et en Bretagne du XIe au XVIe s.
VII 1.
LAVAL (Mayenne). 35 rue des Fossés
LAVAL (Mayenne). Le Poirier
PICARDIE
I 1.
CHEVRIÈRES (Oise). Le Village (rue de Compiègne)
MORTEFONTAINE (Aisne). Ferme de Pouy
NOYON (Oise). 28-32, rue de Belfort
NOYON (Oise). Rue Le Féron, école Weissenburger
II 1.
BEAUVAIS (Oise). Ancien palais épiscopal
SAINT-MARTIN-AUX-BOIX (Oise). Abbaye de Saint-Martin-aux-Bois : le Galata
III 1.
BOVES (Somme). Complexe castral et prioral du « Quartier Notre-Dame »
BRUYÈRES-ET-MONTBÉRAULT (Aisne). Impasse du Mont Pigeon
SOISSONS (Aisne). Parc Gouraud
POITOU-CHARENTE
I 1.
BARZAN (Charente-Maritime). La Combe du Prieur
JARRIE (LA) (Charente-Maritime). Place de l’Église
MIGNÉ-AUXANCE (Vienne). Limbre
SOUBISE (Charente-Maritime). Le Bourg, places Foch, Verdun et du 8 mai 1945
VARENNES (Vienne). La Tourette de Luché
VAUX-SUR-MER (Charente-Maritime). ZAC du Cormier et des Battières
II 1.
CELLEFROUIN (Charente). Chapelle Saint-Martin, fontaine Saint-Martin
CIVRAY (Vienne). Église Saint-Nicolas
LENCLOÎTRE (Vienne). Église Notre-Dame
ROCHEFOUCAULD (LA) (Charente). Saint-Florent et Taracole
SAINT-BRIS-DES-BOIS (Charente-Maritime). Abbaye de Fontdouce
SAINT-SAVINIEN (Charente-Maritime). RD 114, rue de la Gare
THAIRÉ D’AUNIS (Charente-Maritime). Centre bourg
III 1.
ANGERS (Maine-et-Loire). Place Michel Debré
ÉCHIRÉ (Deux-Sèvres). Château du Coudray-Salbart
SAINTES (Charente-Maritime). La Providence, rue Bernard
SAINT-SAUVANT (Charente-Maritime). Place du Marché
IV 1.
BORDS (Charente-Maritime). Place Marc Tranquard
COURCOURY (Charente-Maritime). Place de l’église
JONZAC (Charente-Maritime). RD 134, la Fée aux Roses
NIORT (Deux-Sèvres). Rue des Tournelles
V A1.
CHAPELLE-DES-POTS (LA) (Charente-Maritime). Route de Vénérand
V A3.
GRIPPERIE-SAINT-SYMPHORIEN (LA) (Charente-Maritime). Les marais charentais au Moyen Âge et à l’époque moderne : peuplement, environnement et économie
POITOU-CHARENTES, AQUITAINE, CENTRE, ÎLE-DE-FRANCE, GUADELOUPE, MARTINIQUE. Les céramiques de raffinage dans les ports atlantiques : interactions économiques en métropole et avec les Antilles entre le XVIe et le XIXe s.
V B1.
VIENNAY (Deux-Sèvres). La Chagnasse
V B3.
MELLE (Deux-Sèvres). Mines d’argent des Rois Francs
VI 1.
BEAUGEAY (Charente-Maritime). Rue de l’église
PORT-D’ENVAUX (Charente-Maritime). Le Priouté (fleuve Charente)
PROVENCE-ALPES-CÔTE-D’AZUR
I 1.
AIX-EN-PROVENCE (Bouches-du-Rhône). Château Grimaldi, 155, chemin du château d’Alphéran
GRASSE (Alpes-Maritimes). Îlot Mougins-Roquefort
ISLE-SUR-LA-SORGUE (L’) (Vaucluse). Îlot de la tour d’Argent, immeuble Bon-Juge
SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME (Var). 41, rue Colbert
TRETS (Bouches-du-Rhône). 3bis-9, rue Paul Bert
VERNÈGUES (Bouches-du-Rhône). Avalon
I.2.
ALLONS (Alpes-de-Haute-Provence). Vauclause
SAINT-MARTIN-DE-QUEYRIÈRES (Hautes-Alpes). La Vignette
II 1.
AVIGNON (Vaucluse). Hôtel du roi René
CANNES (Alpes-Maritimes). Église Notre-Dame-d’Espérance
CÉRESTE (Alpes-de-Haute-Provence). La chapelle Saint-Georges
ENTREVAUX (Alpes-de-Haute-Provence). Parc de Glandève
GOULT (Vaucluse). Le prieuré Saint-Pierre : la Chapelle des Hommes
ISLE-SUR-LA-SORGUE (L’) (Vaucluse). Chapelle Saint-Andéol de Velorgues
SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME (Var). Le jardin de l’Enclos
SAINT-MITRE-LES-REMPARTS (Bouches-du-Rhône). Saint-Blaise
SENEZ (Alpes-de-Haute-Provence). Place de l’Église
III 1.
ALLEMAGNE-EN-PROVENCE (Alpes-de-Haute-Provence). Notre-Dame
URIOL (Bouches-du-Rhône). Le Collet du Pujol
ESPARRON-DE-VERDON (Alpes-de-Haute-Provence). Le château
ÉVENOS (Var). Le château
FONTVIEILLE (Bouches-du-Rhône). Castrum de Montpaon
NANS-LES-PINS (Var). Les châteaux
TARASCON (Alpes-Maritimes). Castrum de Saint-Gabriel
III 2.
ARGENTIÈRE-LA-BESSÉE (L’) (Hautes-Alpes). Ville
THOLONET (LE) (Bouches-du-Rhône). Le château et le moulin
VAR. Massif des Maures
III 3.
BOULBON (Bouches-du-Rhône). Château
IV 1.
ROUSSET (Bouches-du-Rhône). Cimetière médiéval – Prieuré de Favary
SAINTE-TULLE (Alpes-de-Haute-Provence). Église Notre-Dame de Beauvoir et Saint-Blaise, avenue Vaillant-Couturier
VAL (LE) (Var). Puits de la Brasque
VILLENEUVE (Alpes-de-Haute-Provence). Le Pigeonnier de l’Ange
V B1.
TENDE (Alpes-Maritimes). Minière de Vallauria
VI 3.
HYÈRES (Var). Le Trou du Pirate
VII 1.
FRÉJUS (Var). Butte Saint-Antoine
RISTOLAS (Hautes-Alpes). La Traversette
RHONE-ALPES
I 1.
BELLEVILLE (Rhône). Le Ritz, grange Berchet
CHALAMONT (Ain). Rue de l’Église – Grande rue
CÔTE-SAINT-ANDRÉ (LA) (Isère). ZAC du Rival / Olagnières – Tranche 3
EXCENEVEX (Haute-Savoie). La Tuillière
LYON (Rhône). 23, rue Marc Bloch
LYON (Rhône). 4, rue Saint-Jean
LYON (Rhône). Hôtel-Dieu – Cour de la cuisine : tranche 3a
LYON (Rhône). Hôtel-Dieu – Grande galerie et cour de la cuisine : tranches 7 et 8
MARENNES (Rhône). Centre-village
SAINT-PAUL-TROIS-CHÂTEAUX (Drôme). Îlot Juiverie
II 1.
AIX-EN-PROVENCE (Bouches-du-Rhône). Chapelle du domaine du Grand Saint-Jean
AIX-EN-PROVENCE (Bouches-du-Rhône). Hôtel le Manoir, ancien couvent des Cordeliers, 8, rue d’Entrecasteaux
LYON (Rhône). Vieux-Lyon
RÉGNIÉ-DURETTE (Rhône). 178, rue du Bourg
SAINT-PRIEST (Rhône). 1, place Louis Favard
VAUDEVANT (Ardèche). Église
III 1.
ALLINGES (Haute-Savoie). Château-Neuf
SAIL-SOUS-COUZAN (Loire). L’aula seigneuriale du castrum de Couzan
ESOUL (Haute-Sâone). La Motte
III 2.
CHÂTONNAY (Isère). Châteauvieux
MONTBRISON (Loire). 14, rue du Palais de Justice
PONCINS, SAINT-CHAMOND, SAINT-JEAN-BONNEFONDS, SAINT-PAUL-EN-JAREZ et SAINT-ROMAIN-EN-JAREZ (Loire). Enceintes urbaines et villageoises de la Loire, campagne 2014
VIENNE-NORD (Isère). Résidences aristocratiques médiévales et modernes du Viennois
IV 1.
LYON (Rhône). 6, place Saint-Irénée
V B1
CRUSEILLES (Haute-Savoie). La Béroudaz
HÉRICOURT (Haute-Saône). Le Près du Fol
HUEZ (Isère). Brandes
OZ-EN-OISANS (Isère). Mine médiévale du Milieu
SAINTE-MARGUERITE-LAFIGÈRE ET MALARCE-SUR-LA-THINE (Ardèche). Le Colombier et Vignelongue
V B2.
LARGENTIÈRE (Ardèche). Baume de Viviers
VII 1.
CHAPONOST (Rhône). 17, avenue Paul Doumer – Lot A
LIMONEST (Rhône). Chemin de la Bruyère – ZAC des Bruyères tranche 2