Tome 43 (2013)
342 pages, CNRS Éditions, 2013,
ISBN : 978-2-271-07970-1,
ISSN : 0153-9337, 45~€
TABLE DES MATIÈRES
Xavier Peixoto et Paul Celly
La première enceinte de la rive droite à Paris (Xe et XIe siècles).
Fouille du 140a, rue de Rivoli Paris 1er. Étude topographique du tracé et exploitation des sources écrites
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Benjamin Lefèvre
Lire la fabrique urbaine d’Angers du IIIe au XIIIe siècle
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Marie-Christine Bailly-Maître, Nicolas Minvielle Larousse, Éric Kammenthaler, Thierry Gonon et Guergana Guionova
L’exploitation minière dans la vallée du Chassezac (Ardèche).
Le plomb, l’argent et le cuivre au Moyen Âge (XIe-XIIIe siècle)
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Alban Horry avec la contributions de Philippe Lanos et Valérie Thirion-Merle
Deux ateliers de potiers en Dauphiné au bas Moyen Âge : les productions d’Aoste
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Jean Chapelot
L’Historical archaeology et l’archéologie médiévale et moderne en France.
Quelques réflexions dans la suite de l’autobiographie d’Ivor Noël Hume
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Jean Soulat
Les fibules discoïdes à décor de « monstre » regardant en arrière (IXe-Xe siècle) découvertes en France. Héritage iconographique et influences stylistiques
Résumés et mots-clés
Article en ligne
Chronique des fouilles médiévales en France en 2012
Répartition régionale des chantiers de fouille
Bulletin critique
Annie Dumont et Jean-François Mariotti (dir.)
Archéologie et histoire du fleuve Charente : Taillebourg – Port d’Envaux : une zone portuaire du haut Moyen Âge sur le fleuve Charente (Vincent Carpentier)
Article en ligne
Lutz Grunwald, Heidi Pantermehl et Rainer Schreg (éd.)
Hochmittelalterliche Keramik am Rhein. Eine Quelle für Produktion und Alltag des 9. bis 12. Jahrhunderts (Yves Henigfeld)
Article en ligne
Alban Horry
Poteries de Lyon 1500-1850 – Morceaux choisis du quotidien à Saint-Georges (Anne Bocquet-Liénard)
Article en ligne
Livres reçus
La première enceinte de la rive droite à Paris (Xe et XIe siècles).
Fouille du 140a, rue de Rivoli Paris 1er. Étude topographique du tracé et exploitation des sources écrites
Mots-clefs : enceinte, fossé, ville, urbanisation, parcellaire médiéval, Paris, rue, carrière de sable
Keywords: Urban Defences, Ditch, Town, Urbanisation, Medieval Burgage Plot, Paris, Street, Sand Quarry.
Schlüsselwörter: Stadtmauer, Graben, Stadtwerdung, mittelalterliches Parzellengefüge, Paris, Gasse, Sandgrube.
Résumé : Une opération d’archéologie préventive réalisée en 1999 au 140a, rue de Rivoli à Paris (1er arrondissement) a fourni l’occasion d’observer un tronçon du fossé de l’enceinte urbaine primitive de la rive droite. Elle a également permis de valider une hypothèse concernant son tracé. La fourchette de construction proposée, entre 978 et 997-998, provient de données textuelles. L’enceinte resta entretenue durant le xie siècle. Une fois comblé, le fossé fut remplacé par une rue dans la seconde moitié du xiie siècle, par une carrière de sable (seconde moitié du xiie-xiiie siècle) et enfin par le jardin de Ponthieu (bas Moyen Âge).
Abstract: The first defences on the Right bank in Paris (10th-11th century). Excavations at 140a Rue de Rivoli. Topographical study and written sources. A developer-funded archaeological excavation carried out in 1999 at 140a rue de Rivoli in Paris (1st arrondissement) provided an opportunity to investigate a section of the first urban defence ditch on the right bank of the Seine. It also enabled confirmation of a hypothesis concerning the ditch’s direction. The date of construction, between 978 and 997-998, has been determined from written sources. The enclosure was maintained throughout the 11th century. The refilled ditch was covered by a street during the second half of the 12th century, and the area served as a sand quarry (2nd half of 12th-13th century), before being finally occupied by the garden of the Hotel de Ponthieu (late medieval period).
Zusammenfassung: Die älteste Stadtmauer auf dem rechten Seineufer in Paris (10.-11. Jh.) – Eine Grabung in der rue de Rivoli 140A (Paris, 1. Arrondissement): Mauerverlauf und Aussagen der Schriftquellen. Eine Rettungsgrabung in der Rue de Rivoli 140A im 1. Arrondissement von Paris [knapp östlich des Louvre] bot 1999 die Gelegenheit, ein Stück vom Graben der ersten Stadtmauer auf dem rechten Seineufer zu untersuchen. Eine ältere Hypothese zum Mauerverlauf wurde dadurch bestätigt. Die hier vorgeschlagene Datierung – zwischen 978 und 997/998 – beruht auf Schriftquellen. Im 11. Jh. wurde die Mauer noch unterhalten. Später wurde der Graben verfüllt. In der 2. Hälfte des 12. Jhs. machte er einer Gasse Platz, im Spätmittelalter auch einer Sandgrube, und zuletzt dem Garten eines Hochadelshofes, des sog. Hôtel de Ponthieu.
Lire la fabrique urbaine d’Angers du IIIe au XIIIe siècle
Mots-clefs : analyse sémantique, analyse spatiale, Angers, Antiquité tardive, espace, fabrique urbaine, Moyen Âge, modélisation, SIG, territoire, topographie historique, ville.
Keywords: Semantic Analysis, Spatial Analysis, Angers, Late Antiquity, Space, Urban Fabric, Middle Ages , Modeling, GIS, Territory, Historical Topography, City.
Schlüsselwörter: Zeichenanalyse, Raumanalyse, Angers, Spätantike, Raum, Stadtentwicklung, Mittelalter, Modellierung, GIS, Territorium, historische Topographie, Stadt.
Résumé : L’analyse de la fabrique urbaine pose le postulat selon lequel la ville est issue de l’interrelation entre un espace et un groupe social selon des modalités particulières. La coprésence et les interactions d’une société avec un espace créent autant de pratiques spatiales et autant de territoires que l’on peut identifier de groupes en action. L’étude de ces interactions met en évidence les différentes conceptions que les acteurs ont de leur cadre. L’analyse de la fabrique urbaine demande d’intégrer la dimension temporelle, ce qui permet de réfléchir dans la longue durée, donc sur la dynamique. La mise en œuvre de l’ensemble des sources est nécessaire. Après un traitement rendant les informations comparables entre elles, ces données sont analysées selon plusieurs aspects documentant chacun un volet de la matérialité urbaine. Deux types de modélisations graphiques sont proposés comme moyens de confronter l’ensemble des données pour comprendre et expliquer la dynamique de la ville.
Abstract: Reading the urban fabric of Angers from the 3rd to the 13th century. Analysis of the urban fabric is based on the premise that the city stems from modes of interrelationship between a space and a social group. The co-presence and interactions of a society with a space create as many spatial practices and territories as we can identify groups in action. The study of these interactions highlights the different conceptions that the actors have of their surroundings. Analysis of the urban fabric requires incorporation of the time dimension, thus allowing consideration of the long term, and consequently dynamics. Implementation of all available sources is necessary. Following processing to render information comparable, data is analyzed from several viewpoints, each documenting some aspect of urban materiality. Two types of graphic modeling are proposed as means of comparing all data with the aim of understanding and explaining the city’s dynamics.
Zusammenfassung: Raumanalyse von Angers’ Stadtentwicklung vom 3. bis zum 13. Jh. Die Analyse der Stadtentwicklung geht vom Postulat aus, die Stadt sei das Produkt der Wechselwirkungen zwischen einem Raum und einer Menschengruppe. Das Zusammenleben und die Interaktionen einer Gesellschaft mit einem Raum schaffen soviele Raumerfahrungen und soviele Sondergebiete, wie sich handelnde Gruppen zu erkennen geben. Untersucht man diese Interaktionen, so zeigt sich, wie unterschiedlich die Teilnehmer sich ihren Lebensraum vorstellen. Zur Analyse der Stadtentwicklung gehört die Berücksichtigung der Zeitdimension, insbesondere der longue durée, wodurch die Dynamik ins Blickfeld gerät. Es ist auch nötig, die Gesamtheit der Quellen einzubeziehen. Ihre Daten werden zuerst so verarbeitet, dass sie untereinander vergleichbar werden, und dann unter verschiedenen Gesichtspunkten untersucht, von denen jeder einen Aspekt der Stadt in ihrer Materialität reflektiert. Zwei Typen von grafischer Modellierung werden als Mittel vorgeschlagen, alle Daten zusammenzuführen, mit dem Zweck, die Dynamik der Stadt verständlich zu machen.
Marie-Christine Bailly-Maître, Nicolas Minvielle Larousse, Éric Kammenthaler, Thierry Gonon et Guergana Guionova
L’exploitation minière dans la vallée du Chassezac (Ardèche).
Le plomb, l’argent et le cuivre au Moyen Âge (XIe-XIIIe siècle)
Mots-clés : Moyen Âge, Languedoc, Ardèche, mines, argent, plomb, minéralu rgie, céramique, seigneurie minière.
Keywords: Middle Ages, Languedoc, Ardèche, mines, silver, lead, mineral-processing, ceramics, mining lords.
Schlüsselwörter: Mittelalter, Languedoc, Ardèche, Bergbau, Silber, Blei, Erzaufbereitung, Keramik, Montanherrschaft
Résumé : La période qui va du milieu du Xe siècle au milieu du XIVe siècle connaît, en Europe, un essor qui se marque dans tous les secteurs d’activité. Pour répondre aux besoins nouveaux, les minerais sont activement recherchés. L’argent, nécessaire au monnayage, occupe la première place. Le district minier qui s’est développé en bordure du Chassezac offre l’opportunité d’étudier un ensemble de chantiers extractifs conservés dans leur état médiéval (XIe-XIIIe siècle), associés à un véritable « quartier industriel » concentrant les ateliers dévolus au traitement du minerai.
Cet ensemble n’est pas isolé et permet une mise en perspective sur la place et le rôle des mines de métaux précieux dans la formation des territoires et leur encadrement politique dans le sud de la France.
Abstract: Mining in the Chassezac valley (Ardèche). Lead, silver and copper during the Middle Ages (11th-13th centuries). In Europe, the period from the middle of the 10th century to the middle of the 14th century sees a marked expansion in all sectors of activity. To meet new needs, ores are actively sought after. Silver, necessary for coinage, is of primary importance. The mining district which developed on the edge of the Chassezac river provides an opportunity to study a group of extraction sites, preserved in their medieval state (11th-13th centuries), associated with a true “industrial quarter” comprising ore-treatment workshops.
This assemblage is not an isolated example and leads to consideration of the place and role of precious-metal mining in the formation of territories and their political control in the south of France.
Zusammenfassung: Bergbau im Chassezac-Tal (Cévennes, Ardèche). Blei, Silber und Kupfer im Hochmittelalter (11.-13. Jh.). Von der Mitte des 10. bis zur Mitte des 14. Jhs. erlebte Europa einen Aufschwung, der alle Wirtschaftsbereiche erfasste. Um neue Bedürfnisse zu befriedigen wurde fleißig nach Erzen gesucht – in erster Linie nach dem zur Münzprägung nötigen Silber. Das Bergrevier, das sich am Ufer des Chassezac gebildet hat, bietet die Gelegenheit, einen Bergbaukomplex zu untersuchen, der in seinem mittelalterlichen Zustand (11.-13. Jh.) geblieben ist, mitsamt einem regelrechten «Industrieviertel», wo die Werkstätten konzentriert waren, in welchen das Erz aufbereitet wurde. Dieser Komplex stand nicht isoliert, und so bietet er Einblicke in den Stellenwert und in die Rolle des Edelmetallbergbaus in der Formierung der Territorien in Südfrankreich und in ihrer politischen Eingliederung.
avec les contributions de Philippe Lanos et Valérie Thirion-Merle
Deux ateliers de potiers en Dauphiné au bas Moyen Âge : les productions d’Aoste
Mots-clés : atelier de potier, four, production céramique, vaisselle de table, vaisselle culinaire, carreau de poêle, glaçure, engobe.
Keywords: Potter’s Work-Shop, Kiln, Production, Ceramics, Table-Ware, Cookery-Ware, Stove-Tiles, Glaze, Slip.
Schlüsselwörter: Töpferwerkstatt, Ofen, Produktion, Keramik, Tafelgeschirr, Küchengeschirr, Ofenkachel, Glasur, Engobe.
Résumé : La fouille conduite sur le territoire de la commune d’Aoste (Isère) au lieu-dit Normandoz a fourni des éléments significatifs à la connaissance de l’artisanat de la terre cuite en Dauphiné au bas Moyen Âge. L’analyse d’une partie de deux ateliers de potiers repose sur un mobilier céramique très abondant ainsi que sur les structures et objets liés à l’activité de production artisanale. Le répertoire typologique régional des céramiques des xive et xve siècles peut être largement complété par les formes produites à Aoste. La mise en évidence de la fabrication de carreaux de poêle décorés du xve siècle constitue un des apports les plus étonnants de la fouille. À ce jour, c’est le témoignage le plus méridional de la production de ces objets, traditionnellement cantonnée à l’Europe du nord-est.
Abstract: Two Late-medieval potters in the Dauphiné: the Aoste (Isère) workshops. Excavations carried out in Aoste (Isère) on the “Normandoz” site, have made a significant contribution to our knowledge of the late-medieval pottery industry in the Dauphiné region. Analysis of part of two potters’ workshops is based upon the highly abundant pottery finds as well as evidence for structures and other finds related to the production site. The regional pottery repertory for the 14th and 15th centuries is substantially enhanced by the wares produced in Aoste. One of the most surprising discoveries is evidence for the manufacture of decorated stove-tiles during the 15th century. At this point, it is the southern-most example of production of objects traditionally associated with north-eastern Europe.
Zusammenfassung: Swei Töpfer in der Dauphiné im Spätmittelalter: die Werkstätten von Aoste (Isère). Eine Grabung in der Gemarkung von Aoste (Isère), Flur Normandoz, lieferte einen bedeutenden Beitrag zur Kenntnis des spätmittelalterlichen Keramikhandwerkes in der Dauphiné. Zwei Töpferwerkstätten konnten anhand zahlreicher Keramikfunde sowie der Funde und Befunde, die mit der Irdenwarenherstellung zu tun haben, teilweise untersucht werden. Die regionale Keramiktypologie des 14. und des 15. Jhs. läßt sich mit den in Aoste hergestellten Formen trefflich ergänzen. Eine der größten Überraschungen dieser Grabung ist der Nachweis, dass hier im 15. Jh. verzierte Ofenkacheln produziert wurden. Bis heute ist das der südlichste Beleg für die Herstellung solcher Gegenstände, die gewöhnlich auf Nordosteuropa beschränkt bleibt.
L’Historical archaeology et l’archéologie médiévale et moderne en France.
Quelques réflexions dans la suite de l’autobiographie d’Ivor Noël Hume
Mots-clés : archéologie médiévale, Mary Beaudry, Lewis Binford, Canada, James Deetz, États-Unis, histoire de l’archéologie, Historical archaeology, Ivor Noël Hume, Post medieval archaeology, post-processual archaeology, processual archaeology, John D. Rockefeller Junior, Society for Historical Archaeology, Michilimackinac, sources écrites, Virginie, Williamsburg.
Keywords: Medieval Archaeology, Mary Beaudry, Lewis Binford, Canada, James Deetz, United States, History of Archaeology, Historical Archaeology, Noël Hume (Ivor), Post Medieval Archaeology, Post-processual Archaeology, Processual Archaeology, John D. Rockefeller Junior, Society for Historical Archaeology, Michilimackinac, Written Sources, Virginia, Williamsburg.
Schlüsselwörter: Mittelalterarchäologie, Mary Beaudry, Lewis Binford, Canada, James Deetz, Vereinigte Staaten, Geschichte der historischen Archäologie, Historical archaeology, Ivor Noël Hume, Post medieval archaeology, postprocessual archaeology, processual archaeology, John D. Rockefeller Junior, Society for Historical Archaeology, Michilimackinac, Schriftquellen, Virginia, Williamsburg.
Résumé : L’autobiographie publiée par Ivor Noël Hume est une histoire de l’archéologie dans le Royaume-Uni et en Amérique du Nord. Né en 1927 à Londres, l’auteur a commencé sa carrière après la guerre en fouillant des sites post-médiévaux dans les ruines de la capitale détruite par les bombardements allemands. En 1956, il part aux États-Unis et va, à partir des fouilles qu’il dirige à Williamsburg (Virginie) et par le biais de ses très nombreuses publications, devenir l’un des pères fondateurs de l’archéologie des XVIe-XVIIIe siècles, officiellement constituée en 1968 avec la création de la Society for Historical Archaeology. L’historical archaeology, qui à l’origine était l’étude des vestiges archéologiques postérieurs à 1492 en Amérique du Nord, est devenue à partir des années 1970-1980 une méthode de recherche puis un mode d’étude du monde moderne par la combinaison d’une documentation variée qui inclut les artefacts, les éléments bâtis, les objets d’art, les sources écrites, etc. La réflexion développée par les spécialistes de l’historical archaeology sur leur activité, notamment l’emploi conjoint de sources documentaires variées, concerne tous les archéologues qui travaillent sur des sociétés historiques, notamment les médiévistes européens. Les principaux résultats sont présentés dans la seconde partie de l’article.
Abstract: Historical archaeology and medieval and modern archaeology in France. Reflections following on from Ivor Noël Hume’s autobiography. The bibliography published by Ivor Noël Hume is a history of archaeology in the United Kingdom and North America. Born in London in 1928, the author began his career after the war by excavating post-medieval sites amidst the ruins of the capital destroyed by German bombing. In 1958 he left for the United States where, and as a result of his excavations at Williamsburg, Virginia, together with his numerous publications, he was to become one of the founding fathers of the archaeology of the 16th to 18th centuries, recognised officially in 1968 by the creation of the Society for Historical Archaeology. Historical archaeology, initially the study of archaeological remains later than 1492 in North America, developed during the 1970s and 1980s into a research method and then an approach to studying the modern world by combining varied documentation including artefacts, standing structures, works of art, written sources etc. Ideas developed by specialists of historical archaeology concerning their activity, notably the combined use of different documentary sources, are relevant to all archaeologists studying historical-period societies, particularly European medievalists. The principal results achieved by this highly significant scientific movement are presented in the second part of the article.
Zusammenfassung: Historical archaeology und mittelalterliche und neuzeitliche Archäologie in Frankreich. Einige Überlegungen im Anschluss an Ivor Noël Humes Selbstbiographie. Ivor Noël Humes Selbstbiographie ist zugleich eine Geschichte der Archäologie in Großbritannien und in Nordamerika. Der Verfasser, 1927 in London geboren, begann seine Laufbahn nach dem Krieg mit nachmittelalterlichen Grabungen in den Ruinen der zerbombten Hauptstadt. 1956 wanderte er in die Vereinigten Staaten aus. Dort wurde er, ausgehend von seinen Grabungen in Williamsburg (Virginia) und dank seinen zahlreichen Veröffentlichungen, zu einem der Gründerväter der Archäologie des 16.-18. Jhs., die sich 1968 mit der Bildung der Society for Historical Archaeology offiziell etablierte. Die historical archaeology, die anfänglich die archäologischen Überrreste der Zeit nach 1492 in Nordamerika untersuchte, wurde seit den 1970er und 1980er Jahren zu einer Forschungsrichtung, die die Neuzeit anhand einer breitgestreuten Dokumentation untersucht, zu welcher Artefakte, Bauten, Kunstwerke, Schriftquellen usw. gehören. Die Reflexion der Vertreter der historical archaeology über ihre Methoden, insbesondere über die Verwendung einer breiten Palette von Quellen, interessiert alle Archäologen, die sich mit historischen Gesellschaften befassen, also auch die europäischen Mediävisten. Im zweiten Teil des Aufsatzes werden die Hauptergebnisse dieser höchstwichtigen Forschungsrichtung vorgestellt.
Les fibules discoïdes à décor de « monstre » regardant en arrière (IXe-Xe siècle) découvertes en France. Héritage iconographique et influences stylistiques
Mots-clés : fibule discoïde, backward-looking animal brooches, monstre, typologie, iconographie, époque carolingienne, Angleterre, France.
Keywords: Disc brooch, monster, typology, iconography, Carolingian period, England, France.
Schlüsselwörter: Scheibenfibel, Fabeltier, Typologie, Ikonographie, Karolingerzeit, England, Frankreich.
Résumé : Cet article a pour but de mettre en lumière un type particulier de fibules datant de l’époque carolingienne, les fibules discoïdes décorées d’un « monstre », surnommées par les archéologues britanniques backward-looking animal brooches. Ces fibules datant du début du Xe siècle ont été découvertes en grande quantité en Angleterre, plus rarement sur le continent, et par six fois en France. En lien avec l’inventaire de ces quelques exemplaires, il s’agira de mettre en perspective l’héritage iconographique et l’influence stylistique en relation avec les meilleurs parallèles découverts afin de mieux appréhender ces éléments de parure encore mal connus.
Abstract: Backward-looking animal brooches dating from the ninth-tenth centuries discovered in France. Iconographical heritage and stylistic influence. The purpose of this article is to highlight a particular brooch type dating from the Carolingian period, disc brooches decorated with “a monster” known to British archaeologists as backward-looking animal brooches. These early tenth-century brooches have been discovered in large numbers in England but only sporadically on the continent, including on six occasions in France. In conjunction with the inventory of these few examples, and using the best comparable finds from elsewhere, iconographical heritage and stylistic influence are considered in order to better our understanding of these little-known ornaments.
Zusammenfassung: Die in Frankreich gefundenen, mit einem rückwärts blickenden Fabeltier verzierten Scheibenfibeln des 9./10. Jhs. – ikonographisches Erbe und stilistische Einflüsse. Dieser Aufsatz gilt einem besonderen Typ karolingerzeitlicher Fibeln, den mit einem rückwärts blickenden Fabelwesen verzierten Scheibenfibeln, die die britischen Archäologen backward-looking animal brooches nennen. Sie datieren aus dem frühen 10. Jh. und wurden in England massenhaft gefunden, auf dem Kontinent aber nur sporadisch, und in Frankreich insgesamt sechsmal. Diese Funden werden hier katalogisiert und mit den besten Vergleichsbeispielen konfrontiert, um das ikonographische Erbe und die stilistische Einflüsse herauszuarbeiten, mit dem Zweck, diese wenig bekannten Schmuckstücke besser einzuschätzen.
Chronique des fouilles médiévales en France en 2012
Répartition régionale des chantiers
ALSACE
I 1.
Balbronn (Bas-Rhin). Maison forestière de l’Elmerforst
Colmar (Haut-Rhin). Place de la Montagne-Verte
Osthouse (Bas-Rhin). Lotissement « Kleinfeld »
Strasbourg (Bas-Rhin). Bains municipaux, Boulevard de la Victoire
Strasbourg (Bas-Rhin). Place du Château
II 1.
Colmar (Haut-Rhin). Abords du temple Saint-Matthieu
III 1.
Ingwiller (Bas-Rhin). 9-11-13-15, rue du 11 Novembre
Lembach (Bas-Rhin). Château du Fleckenstein
Obersteinbach (Bas-Rhin). Château du Petit-Arnsberg
Windstein (Bas-Rhin). Château du Nouveau-Windstein
IV 1.
Artzenheim (Haut-Rhin). Lotissement les Violettes
Sausheim (Haut-Rhin). Association Culture et Loisirs – 31, rue des Vergers
V B3.
Sainte-Marie-aux-Mines et Steinbach (Haut-Rhin). Sainte-Marie-aux-Mines : district de Sainte-Marie-aux-Mines, secteur de l’Altenberg, lieu-dit Saint-Philippe ; Steinbach : district de Steinbach, secteurs de Legerstolle et Bruderthal
VI 1.
Colmar (Haut-Rhin). Rue Saint-Josse
VII 1.
Wingen-sur-Moder (Bas-Rhin)
AQUITAINE
I 1.
Dax, Tercis, Saubagnac (Landes). Saubagnac, Tauzia, Loustalot, Hinx, Parquède, Esperon
II 1.
Arsac (Gironde). La Chapelle de Birac
Périgueux (Dordogne). Place de la Clautre – vieille église de Saint-Front
III 1.
Biron (Dordogne). Le Bourg
Biron (Dordogne). Château
Castelnaud-la-Chapelle (Dordogne). Le château
Langoiran (Gironde). Le Castéra
Monségur (Gironde). La Ville, rue Cagne-Rousselle
Morlanne (Pyrénées-Atlantiques). Château
Orthez (Pyrénées-Atlantiques). Place de la Moutète
Sainte-Colombe-de-Villeneuve (Lot-et-Garonne). La Mothe
Vitrac (Dordogne). Château de Montfort, la Garenne
IV 1.
Macau (Gironde). La Ferme, le Bout de l’Île
Monflanquin (Lot-et-Garonne). Piquemil-Nord
Monflanquin (Lot-et-Garonne). Saint-Hilaire
V A1.
Sadirac (Gironde). Chemin de Tioulet
AUVERGNE
II 1.
Puy-en-Velay (Le) (Haute-Loire). Logis des Clergeons
III 1.
Ferrière-sur-Sichon (Allier). Château de Montgilbert
MOULINS (Allier). Château des ducs de Bourbon
IV 1.
Souvigny (Allier). Centre bourg
BOURGOGNE
I 1.
Dijon (Côte-d’Or). Place de la République, nouvelle fontaine
Ouroux-sur-Saône (Saône-et-Loire). Rue du Mont
Saint-Martin-du-Mont (Côte-d’Or). Les Bois de Cestres
Sornay (Haute-Saône). 5, Grande Rue
II 1.
Cluny (Saône-et-Loire). Abbaye de Cluny Saint-Pierre-Saint-Paul
Dijon (Côte-d’Or). 3-5, rue Turgot, ancien couvent des Cordeliers
Flavigny-sur-Ozerain (Côte-d’Or). Rue de l’Abbaye (fabrique d’Anis) : ancien cloître de l’abbaye Saint-Pierre
Joux-la-Ville (Yonne). Oudun
Mont-Saint-Jean (Côte-d’Or). Hôpital
Vézelay (Yonne). Cloître
III 1.
Martailly-lès-Brancion (Saône-et-Loire). Village de Brancion : terrasse SO du château et « poterne » du bourg
IV 1.
Savigny-lès-Beaune (Côte-d’Or). Église Saint-Cassien
VI 1.
Allériot (Saône-et-Loire). Sondage d’un aménagement de pieux, dans la rivière Saône
BRETAGNE
I 1.
_Brélès (Finistère). Jardins du château de Kergroadez
III 1.
Créhen (Côtes-d’Armor). Château du Guildo
Ploërdut (Morbihan). Vilérit
Rennes (Ille-et-Vilaine). Les Portes Mordelaises
V A3.
Pays-de-la-Loire-Bretagne. PCR La céramique médiévale dans les Pays-de-la-Loire et en Bretagne du XIe au XVIe s.
CENTRE
I 1.
Blois (Loir-et-Cher). 2, rue du Puits Neuf – ancien hôpital psychiatrique – Quartier Vienne
Étrechet (Indre). Ozans
Illiers-Combray (Eure-et-Loir). Les Fourneaux
Orléans (Loiret). îlot Calvin
Saint-Florent-sur-Cher (Cher). La Terre des Brosses
Saint-Jean-le-Blanc (Loiret). Le Clos de la Cerisaille
Sorigny (Indre-et-Loire). La Ferme de Thais
Sublaines (Indre-et-Loire). Le Bois Gaulpied – Le Grand Ormeau
Traînou (Loiret). La Giraudière
Vernou-sur-Brenne (Indre-et-Loire). Foujouin
II 1.
Chartres (Eure-et-Loir). Cathédrale Notre-Dame, travées occidentales et façade
Ferrières-en-Gâtinais (Loiret). La Ville
Mérigny (Indre). Le prieuré de Puychevrier
Oulches (Indre). Le prieuré de Longefont
Semoy (Loiret). Le Prieuré
Tours (Indre-et-Loire). Marmoutier
III 1.
Gien (Loiret). Place du Château
Montbazon (Indre-et-Loire). Le château
IV 1.
Braye-sous-Faye (Indre-et-Loire). Nécropole
Réclainville (Eure-et-Loir). Les Bordes
Saint-Amand-Montrond (Cher). Parvis de l’église
Tours (Indre-et-Loire). Rue Charles Gille
VC 1.
Saint-Épain (Indre-et-Loire). Les Roches
CHAMPAGNE-ARDENNE
I 1.
Ailleville (Aube). Route Nationale
Avenay-Val-d’Or (Marne). ZAC du Mont Aigu
Biesles (Haute-Marne). La Roche
Bignicourt-sur-Marne (Marne). Le Village
Plancy-l’Abbaye (Aube). Chemin rural des Poisses
Ruvigny (Aube). Le Pré aux Chevaux
Sainte-Savine (Aube). Parc du Grand Troyes, phase IV
Saint-Léger-près-Troyes (Aube). Le Cuchat
II 1.
Parnoy-en-Bassigny (Haute-Marne). Ancienne abbaye de Morimond, quartier des hôtes
IV 1.
Esclavolles-Lurey (Marne). La Pièce de Bécheret
CORSE
I 2.
Cargèse (Corse-du-Sud). Paomia
II 1.
Castirla (Haute-Corse). Chapelle « San Michele »
Coti-Chiavari (Corse-du-Sud). San Sistru
Sainte-Lucie-de-Tallano (Corse-du-Sud). Saint-Jean-Baptiste
III 2.
Coggia (Corse-du-Sud). Castellu
FRANCHE-COMTÉ
I 1.
Lons-le-Saunier (Jura). Rue de la Préfecture
Rancenay (Doubs). Sous la Grette
II 1.
Gigny (Jura). Cloître
Salins-les-Bains (Jura). Camp du Château
III 2.
Châtelaine (La) (Jura). Au vieux Château
III 3.
Franche-Comté. PCR Les sites de hauteur de l’Antiquité tardive et du haut Moyen Âge en Franche-Comté (IVe-IXe s.)
IV 1.
Aubonne (Doubs). 12, rue Grande, les Brayes
V C1.
Lebetain (Territoire-de-Belfort). Rue sous les Roches
GUADELOUPE
III 1.
Trois-Rivières (Guadeloupe). Grande Anse sur Morne
GUYANE
V C1.
RÉGINA-KAW (Guyane). Habitation Besse sur la Courouaï – Habitation sucrière la Garonne
Rémire-Montjoly (Guyane). Habitation Loyola, secteurs du magasin et du cimetière
ÎLE-DE-FRANCE
I 1.
Bonneuil-sur-Marne (Val-de-Marne). ZAC de l’Hôtel-de-Ville
Montainville (Yvelines). La Ferme du Fort
Puteaux (Hauts-de-Seine). 16-26, boulevard Richard Wallace / 1-5, rue du Four / 79-85, rue Voltaire
Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Îlot Cygne
II 1.
Arcueil (Val-de-Marne). Église Saint-Denys, maison paroissiale
Asnières-sur-Oise (Val-d’Oise). Abbaye de Royaumont
Bagneux (Hauts-de-Seine). Centre
Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne). Chevet de l’église Saint-Pierre
Magny-les-Hameaux (Yvelines). Abbaye de Port-Royal-des-Champs
PARIS 20e (Paris). Église Saint-Germain de Charonne
Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). 5bis, rue de la Légion d’honneur
Verneuil-sur-Seine (Yvelines). Église Saint-Martin
III 3.
Haute-Normandie. PCR Étude microtopographique des fortifications de terre de Haute-Normandie Saint-Clair-sur-Epte (Val-d’Oise). Le pré de la Ferme
IV 1.
Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne). La Varenne Saint-Hilaire, rue des Sorbiers
VII 1.
Versailles (Yvelines). Terrain des Mortemets
LANGUEDOC-ROUSSILLON
I 1.
Clermont-l’Hérault (Hérault). Quartier de Gorjan
Elne (Pyrénées-Orientales). 61, rue Nationale
Nîmes (Gard). 3, rue Dorée
II 1.
Cros (Le) (Hérault). Église de la Bergerie de l’Hôpital
II 3.
Lagrasse (Aude). Abbaye Sainte-Marie
Saint-Gilles (Gard). Ancienne abbaye. Projet collectif de recherche « AEGIMAIOR »
III 1.
Colombières-sur-Orb (Hérault). Tour de Carous
Duilhac-sous-Peyrepertuse (Aude). Château de Peyrepertuse
Montoulieu (Hérault). Le Castellas
Termes (Aude). Au Château
IV 1.
Roujan (Hérault). Champs de l’Aire, Saint-Hilaire
Saint-Maurice-Navacelles (Hérault). Saint-Vincent de Soulages
V B2.
Cabrespine (Aude). Mines du Roc de l’Aigle et du Roc Pezoul
Saint-Laurent-le-Minier, Saint-Bresson, Pommiers, Montdardier (Gard). District minier médiéval d’Hierle
LIMOUSIN
I 1.
Châteauponsac (Haute-Vienne). Rue des Remparts
II 1.
Bonnat (Creuse). Place de l’église
Limoges (Haute-Vienne). Crypte Saint-Martial
Limoges (Haute-Vienne). Rue Saint-Martial, rue de la Courtine, place de la République, rue de la Terrasse
Nouzerines (Creuse). Bourg l’Église
Souterraine (La) (Creuse). Place d’Armes
Tarnac (Corrèze). Église Saint-Gilles-Saint-Georges
III 1.
Boussac (Creuse). Rue des Fossés
Châlus (Haute-Vienne). La tour de Maulmont
Monteil-au-Vicomte (Le) (Creuse). Le Château
Saint-Jean-Ligoure (Haute-Vienne). Château haut de Chalucet
III 2.
Saint-Dizier-Leyrenne (Creuse). « Camp fortifié » de Murat
IV 1.
Brive (Corrèze). Places Charles de Gaulle et Latreille
Limoges (Haute-Vienne). 1, rue de la Courtine
Limoges (Haute-Vienne). 36, rue du Pont-Saint-Étienne
LORRAINE
I 1.
Augny (Moselle). Ruelle du Cimetière des Juifs
Dieue-sur-Meuse (Meuse). La Corvée
Épinal (Vosges). ZAC de Laufromont – phase 2
Laquenexy (Moselle). Rue du Noyer
Metz (Moselle). 9, rue du Wad Bouton
Metz (Moselle). Rue Saint-Georges
Toul (Meurthe-et-Moselle). Secteur Vauban intra-muros
II 1.
Bliesbruck (Moselle). Ancienne église
Bouzonville (Moselle). Abbatiale Sainte-Croix
Claudon (Vosges). Ancienne abbaye de Droiteval
Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle). Lycée régional Jacques Marquette
Toul (Meurthe-et-Moselle). Cloître de l’ancienne cathédrale Saint-Étienne de Toul
III 1.
Boulay-Moselle (Moselle). Rue des Jardins
Darnieulles (Vosges). Tour d’habitation seigneuriale
Dieulouard (Meurthe-et-Moselle). Rue du Stade, Jardins du château
Neufchâteau (Vosges). Rue de Mathey et rue des Halles
Rodemack (Moselle). Citadelle, Burg
III 2.
Metz (Moselle). Allée de la Tour des Esprits : « Mur en Chandellerue »
IV 1.
Verdun (Meuse). La citadelle haute – l’abbaye Saint-Vanne
V C1.
Abreschviller (Moselle). Streitwald
MARTINIQUE
I 1.
Fort-de-France (Martinique). Rue Schœlcher
MIDI-PYRÉNÉES
I 1.
Auzat (Ariège). Abris pastoraux en haute montagne : orri de Jean Lamic
Bruniquel (Tarn-et-Garonne). 228 et 230, rue du Château
Caussade (Tarn-et-Garonne). Passage de l’Arbot
Moissac (Tarn-et-Garonne). 18, rue de la République
Toulouse (Haute-Garonne). 26, chemin de la Flambère, tranche 5
Toulouse (Haute-Garonne). Lycée Saint-Sernin
II 1.
Condom (Gers). Cloître
Millau (Aveyron). Fouilles du site de hauteur de la Granède
Moissac (Tarn-et-Garonne). La Ville
Moissac (Tarn-et-Garonne). Église Saint-Martin
Pamiers (Ariège). Cordeliers
III 1.
Auzat (Ariège). Grotte du Campanal, castrum de Montréal-de-Sos
Caussade (Tarn-et-Garonne). Place du Fil
Toulouse (Haute-Garonne). Place des Hauts-Murats
III 3.
Ariège et Haute-Garonne. Naissance, évolutions et fonctions des fortifications médiévales dans les comtés de Foix, Couserans et Comminges
V B1.
Aulus-les-Bains (Ariège). Castel-Minier
NORD-PAS-DE-CALAIS
I 1.
Marck-en-Calaisis et Calais (Pas-de-Calais). La Turquerie, secteurs A/B
Noyelles-Godault (Pas-de-Calais). Rue Jules Ferry
Villeneuve-d’Ascq (Nord). Le Recueil
II 1.
Mont-Saint-Éloi (Pas-de-Calais). Rue Bardot
Pecquencourt (Nord). Institut d’Anchin (ancienne abbaye d’Anchin)
III 1.
Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Enceinte urbaine
Bours (Pas-de-Calais). Donjon
Condé-sur l’Escaut (Nord). Château de l’Arsenal
III 2.
Cambrai (Nord). Château de Selles
V A1.
Douai (Nord). Frais-Marais
Fiennes (Pas-de-Calais). Rue du Tilleul
V B1.
Dunkerque (Nord). Lycée Benjamin Morel
NORMANDIE (Haute)
I 1.
Andelys (LES) (Eure). La Marguerite
Guichainville (Eure). La Grande Contrée Sud
Pont-Audemer (Eure). Rue de la Seule
Rouen (Seine-Maritime). 1 et 5a, rue Pouchet
Vandrimare (Eure). Gournets
II 1.
Gisors (Eure). Le Parc Saint-Lazare
III 1.
Havre (Le) (Seine-Maritime). Quai du Cameroun
Igoville (Eure). Le Fort d’Igoville
III 3.
Haute-Normandie. PCR Étude microtopographique des fortifications de terre de Haute-Normandie
Bézu-Saint-Éloi (Eure). La Ferme
Charleval (Eure). Le Mont Blanc
Étrépagny (Eure). Rue Georges Clémenceau
IV 1.
Harfleur (Seine-Maritime). Les Coteaux du Calvaire
VII 1.
Aubevoye (Eure). Déviation de la route départementale 65
NORMANDIE (BASSE)
I 1.
Mondeville (Calvados). Rue Chapron
Vire (Calvados). La Mercerie
II 1.
Bayeux (Calvados). Musée Baron-Gérard (Ancien palais épiscopal), rue de la Chaîne, des Cuisiniers et du Bienvenu
III 1.
Bayeux (Calvados). Place Charles-de-Gaulle
Caen (Calvados). Château
Pommeraye (La) (Calvados). Château Ganne
IV 1.
Étréham (Calvados). L’Église
Vieux (Calvados). Saint-Martin
PAYS-DE-LA-LOIRE
I 1.
Fontenay-sur-Vègre (Sarthe). Le Braie
I 2.
Poillé-sur-Vègre (Sarthe). Le Petit-Perrin, la Forge, Verdelles
II 1.
Dangeul (Sarthe). Mayanne
Rezé (Loire-Atlantique). Saint-Lupien
II 2.
Moreilles (Vendée). L’Abbaye, l’Affiage
V A3.
Pays-de-la-Loire-Bretagne. PCR La céramique médiévale dans les Pays-de-la-Loire et en Bretagne du XIe au XVIe s.
PICARDIE
I 1.
Brissay-Choigny (Aisne). Le Clos Holette
Coisy (Somme). Le Village
Démuin (Somme). Le Village
Mercin-et-Vaux (Aisne). Les Quatre Livres
Pommiers (Aisne). Les Grosses Vignes
Rue (Somme). Foraine de Hère
II 1.
Fleurines (Oise). L’église Saint-Jacques et Saint-Gilles
Prémontré (Aisne). Abbaye de Prémontré
Saint-Germer-de-Fly (Oise). Abbatiale
III 1.
Boves (Somme). Complexe castral et prioral du « Quartier Notre-Dame »
Coucy-le-Château (Aisne). Tour Lhermitte
Noyon (Oise). Rue du Moulin Saint-Blaise
IV 1.
Achery (Aisne).
Mortefontaine (Aisne). Ferme de Pouy
Oudeuil (Oise). Rue Saint Omer (nouvelle mairie)
VII 1.
Chantilly (Oise). Jeu de l’Oie du Petit Parc (château de Chantilly)
Corbie (Somme). La Justice
POITOU-CHARENTES
I 1.
Asnières-sur-Nouère (Charente). Champ Chébrac et Champs du Frêne
Chauvigny (Vienne). 14, rue de Châtellerault
Coulon (Deux-Sèvres). Les Grands Champs
Jaunay-Clan (Vienne). Bourg Calin
Linars (Charente). La Fouillère
Marigny-Brizay (Vienne). La Renferme
Poitiers (Vienne). 19, rue Jean Macé et Jean Bouchet
Rochefoucauld (La) (Charente). Place du Champ de Foire, hôpital
Rochelle (La) (Charente-Maritime). 21bis, rue Buffeterie
Rochelle (La) (Charente-Maritime). 9-11, rue des Templiers
Vouhé (Charente-Maritime). Le Cluzeau
II 1.
Angoulême (Charente). Îlot Lacroix-Charbonnaud (ancienne abbaye Saint-Cybard)
Cellefrouin (Charente). Fontaine Saint-Martin, église prieurale Saint-Martin de Cellefrouin
Mouterre-Silly (Vienne). Église de Chasseignes
Niort (Deux-Sèvres). Place et rue du Temple, place du Donjon
Niort Saint-Liguaire (Deux-Sèvres). Place Saboureau, abbaye
Poitiers (Vienne). Abbaye Saint-Jean-de-Montierneuf
Saintes (Charente-Maritime). Cathédrale Saint-Pierre
III 1.
Airvault (Deux-Sèvres). Château, 6 rue de Brelucan
Lusignan (Vienne). Porte occidentale de ville
Monthoiron (Vienne). 1, chemin du Château
Niort (Deux-Sèvres). Place du Donjon
Niort (Deux-Sèvres). Rue Léon Blum (partie ouest)
Poitiers (Vienne). Promenade du Pré-l’Abbesse
Rochelle (La) (Charente-Maritime). 7-9-11, rue de la Fabrique
Villebois-Lavalette (Charente). Le Château
IV 1.
Écurat (Charente-Maritime). Église Saint-Pierre
Éraville (Charente). Église Saint-Pierre
Luxé (Charente). Les Sablons
Mirebeau (Vienne). Prieuré Saint-André
Rochelle (La) (Charente-Maritime). 30, avenue des Cordeliers
Saint-Félix (Charente). Saint-Félix
V A1.
Rochelle (La) (Charente-Maritime). 5 bis et 3, rue du Duc
V A2.
Gripperie-Saint-Symphorien (La) (Charente-Maritime). Saint-Sornin
Rochelle (La) (Charente-Maritime). Les céramiques de raffinage du sucre à La Rochelle : caractérisation et variété des approvisionnements de la fin du XVIe s. au XVIIIe s.
V B2.
Charente. Zones de production métallurgique du fer
V B3.
Melle (Deux-Sèvres). PCR Mines d’argent des Rois Francs
V C1.
Aulnay-de-Saintonge (Charente-Maritime). L’Hôpiteau
VI 1.
Port-D’envaux (Charente-Maritime). Le Priouté
VII 3.
Charente-Maritime. PCR « Les marais charentais au Moyen Âge et à l’époque moderne : Peuplement, environnement, économie »
PROVENCE-ALPES-CÔTE-D’AZUR
I 1.
Istres (Bouches-du-Rhône). Forum des Carmes
Saint-Mitre-les-Remparts (Bouches-du-Rhône). Saint-Blaise
Toulon (Var). Îlot Baudin
II 1.
Fontvieille (Bouches-du-Rhône). Saint-Peyre d’Entremont
Peyroules (Alpes-de-Haute-Provence). éÉglise Saint-Pons
Saint-Michel-l’Observatoire (Alpes-de-Haute-Provence). Sainte-Marie-Madeleine de Lincel
Saint-Michel-l’Observatoire (Alpes-de-Haute-Provence). Saint-Pierre
Senez (Alpes-de-Haute-Provence). Place de l’Église
II 2.
Alpes-du-sud (Alpes-de-Haute-Provence). Les cryptes romanes dans les Alpes du sud, enquête sur une forme architecturale – Allemagne-en-Provence, chapelle Saint-Marc ; Entrepierres – crypte du prieuré de Vilhosc ; Saint-Geniez – chapelle Notre-Dame de Dromon
III 1.
Allemagne-en-Provence (Alpes-de-Haute-Provence). Le Castellet
Fontvieille (Bouches-du-Rhône). Montpaon
Fréjus (Var). Tour médiane
Nice (Alpes-Maritimes). Colline du Château
Tallard (Hautes-Alpes). Le château, « salle basse »
Volx (Alpes-de-Haute-Provence). 9, rue du Château
IV 1.
Riez (Alpes-de-Haute-Provence). Rue Hilarion Bourret, Ubac Saint-Jean
Saint-étienne-les-Orgues (Alpes-de-Haute-Provence). L’Abadie
Tarascon (Bouches-du-Rhône). Abbaye Saint-Michel du Frigolet
V B1.
Freissinières (Hautes-Alpes). Montagne de Faravel, lac de Fangeas – district minier de Faravel
Tende (Alpes-Maritimes). Vallon de la Minière
RHÔNE-ALPES
I 1.
Aubenas (Ardèche). Place du 14-Juillet
Bonneville (Haute-Savoie). Place de la Mairie
Chalamont (Ain). Grande rue-rue de l’Église
Fareins (Ain). ZAC Parc d’activités de Montfray – Zone C
Lyon (Rhône). Rues Saint-Didier et des Nouvelles Maisons
Lyon 5e (Rhône). 8, rue Saint-Jean
Lyon 5e (Rhône). 38, rue Saint-Jean
Optevoz (Isère). Les Verchères, 369, rue Philippe Tassier
Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie). Îlot du Tabellion. Rue de la République,
rue de la Sous-Préfecture
Voulte-Sur-Rhône (La) (Ardèche). Site de la Boissine
I 2.
Côte-Saint-André (La), Brezins, Sardieu, Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, Saint-Siméon-de-Bressieux, Châtenay, Viriville, Thodure (Isère).
Rhône-Alpes (Drôme/Ardèche). Les campagnes de la colonie romaine de Valence (IIe s. av. J.-C.-VIie s. apr. J.-C.) : peuplement et exploitation
II 1.
Aime (Savoie). Basilique Saint-Martin
Berrias-et-Casteljau (Ardèche). La commanderie de Jalès
Charlieu (Loire). Abbaye
Lyon (Rhône). Église Saint-Irénée
Lyon (Rhône). Île-Barbe
Montpezat-sous-Bauzon (Ardèche). Prieuré de Clastres
Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie). Rue Saint-Ayrald
Saint-Just-Saint-Rambert (Loire). Rempart du prieuré, angle des rues d’Occiacum et de Simiane de Montchal
Ternay (Rhône). Église Saint-Mayol
II 2.
Taulignan (Drôme). Saint-Martin
III 1.
Allinges (Haute-Savoie). Château-Neuf
Vallon-Pont-d’Arc (Ardèche). Vieux Vallon
III 2.
Mirmande (Drôme). La citerne « Petit Jean », le Montpourchier et le village de Mirmande
Moras-en-Valloire (Drôme). Les Bises
IV 1.
Ambérieux, Les Chères, Quincieux (Rhône). A466
Lyon (Rhône). Antiquaille
Roanne (Loire). 28, rue de Charlieu, Centre hospitalier (cimetière Saint-Julien)
V B1.
Huez (Isère). Brandes
Sainte-Marguerite-Lafigère (Ardèche). Le Colombier
VII 2.
Vieu et Champagne-en-Valromey (Ain). Réseaux viaires anciens en Valromey et Haut Bugey